Les modes doux sont un maillon de l’efficience globale du système de déplacement. Ils conditionnent l’accessibilité aux activités, aux transports en commun, aux pôles d’échanges, aux stations de taxis, de transport à la demande, d’auto-partage ou de vélos en libre-service. Envisagés comme modes alternatifs à la voiture et modes de rabattement, ils sont l’enjeu majeur en faveur de l’intermodalité, de la multimodalité (bus, TCSP, navette maritime...) et de l’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite.